Le 7 juillet 2024, les électeurs ont envoyé à l’assemblée nationale 3 grands blocs de députés (gauche, centre/droite, extrême droite) dont aucun ne dispose de la majorité absolue de 289 sièges pour gouverner seul. Il faudra bien pourtant trouver une majorité
Normalement, je rédige des articles sérieux et pondérés. Mais cette fois, ce n’est pas possible : la démagogie coule à flots. J’ai l’habitude, mais trop, c’est trop ! Et ça me rappelle de très mauvais souvenirs…
Le conflit israélo-palestinien s’est immiscé dans la campagne électorale française, dans laquelle il fait apparaître un clivage de plus. C’est dans ce contexte que j’ai assisté le 24 juin à une conférence instructive de Denis Charbit que je vais vous résumer ci-après.
Les élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet 2024 sont l’occasion pour les oppositions de la majorité présidentielle de … manifester leur opposition ! Pas étonnant que leurs programmes se ressemblent énormément. : augmenter les dépenses et diminuer les recettes !
Elections en Inde : si le premier ministre, Naranda Modi devrait être reconduit, son parti n’obtient pas la majorité absolue et il lui faut le concours de partis locaux. Si cette probable reconduction récompense ses succès économiques, l’opposition, qui lui reproche un manque de démocratie et de laïcité, est soulagée qu’il n’ait pas eu la majorité des 2/3 des sièges lui permettant de changer la constitution.
La colonisation a implanté le français en Algérie où il a été adopté par une partie de la population. Mais le pouvoir actuel pousse à l’arabe et à l’anglais. Faisons le point.
Je ne suis pas un partisan de la colonisation, au contraire : en tant que libéral, je m’y serais opposé au XIXe siècle. Mais nous sommes au XXIe siècle, la colonisation a eu lieu et elle appartient à l’histoire. Le problème est que cette histoire est pour l’instant totalement fantasmée. L’objet de cet article est de rétablir des faits historiques pour pouvoir raisonner aujourd’hui.
PME ruinées, grandes entreprises se redéployant à l’étranger, entrepreneurs allant créer ailleurs, étudiants qualifiés et chômeurs dynamiques allant travailler aux 4 coins du monde : un mouvement général d’émigration vide la France par le haut et personne ne semble s’en inquiéter.
